Nous vous proposons de participer à un après midi alliant gourmandise et nature.
Tu t’y connais en plantes sauvages? Tu veux nous montrer lesquelles cueillir et comment les cuisinez? Ou au contraire, tu n’y connais rien et tu as envie de découvrir avec nous la flore comestible du bord du Clain, armé de tes yeux et de tes bouquins? Alors viens avec nous récolter et déguster des plantes sauvages comestibles !
Merci de vous inscrire auprès d’Emeline à l’adresse suivante : vienne@mrjc.org ou au 05 49 56 62 02.
Les conserves tout seul c’est bien, à plusieurs c’est le top !
Récup’ de légumes au marché, puis expérimentation de différentes techniques de conservation (lacto fermentation et stérilisation).
Vous aurez besoin d’apporter :
– quelques pots ou bocaux (et leurs joints).
– comme d’habitude, c’est repas partagé le midi
Tarif: participation libre et consciente (gaz et électricité, ingrédients de base, boissons chaudes).
Nombre de place limité, vous pouvez vous inscrire via ce questionnaire: https://mrjc.typeform.com/to/wpv6WS
Les services civique d’Unis-Cité se retrouve à la Gibbeuse pour une journée de chantier autour du earthship. Au programme, descente de troncs en chêne et mise en place du hérisson en bouteilles de bière. A ce propos, quand vous avez fini votre pack (25 cl Grimbergen, Leffe ou marque avec hauteur similaire), pensez à nous.
Venez échanger avec d’autres sur vos rêves, envies ou projets de vie/projets professionnels.
A partir d’outils d’animation/jeux
Comme toujours, on partage l’apéro.
Nombre de places limité. Vous pouvez vous inscrire via ce questionnaire: https://mrjc.typeform.com/to/D6gqgU
Chacun amène ce qu’il peut donner ou échanger
et repart avec ce qu’il veut planter et faire pousser.
On pourra tous en prendre de la graine.
Vous êtes les bienvenues même sans apporter de graine.
Pour compléter le propos, voici un extrait de « Les graines magiques » de Mitsumasa Anno édité en 1992 par Père Castor Flammarion :
Plus fine parfois qu’un grain de poussière, souvent plus coriace qu’un caillou, la graine est pourtant un concentré de vie, un projet minutieusement défini, tout un programme en miniature. Garde-manger de la future plantule, elle est aussi forteresse et horlogerie bien réglée. Dans son sommeil apparent, elle n’attend que les meilleurs conditions pour donner naissance à une plante, qui à son tour portera des graines et le plus souvent des dizaines, des centaines de nouvelles graines.
Voici des milliers d’années, les hommes ont découvert qu’ils pouvaient cultiver les plantes au lieu de s’en remettre au hasard des cueillettes. Ils ont appris à semer, à protéger les cultures, à sélectionner les végétaux. Ils ont prié le ciel de leur accorder la pluie et leur épargner la grêle, les vols de criquets et autres fléaux naturels. Et lorsque les récoltes ont excédé leur besoins, ils se sont mis à en faire commerce. Bien sûr, le troc existait depuis la nuit des temps. Mais c’est avec l’agriculture que le vrai commerce est né et surtout grâce aux graines : les céréales comme le riz et le blé, mais aussi les lentilles, le maïs, le soja,… Nourrissantes sous un faible volume, les graines se conservent et voyagent mieux que les produits de la chasse, de la pêche et de l’élevage. Avec le commerce s’est développé la maîtrise des nombres, ainsi que l’art du marchandage, sans parler de celui de tromper son prochain. Au moins autant que l’or et autres richesses, les graines ont suscité bien des guerres.